Les veilleurs, Vincent MESSAGE (Seuil)
Lu par...Nicolas
Ce premier roman, encensé par de nombreux critiques littéraires ne tarissant pas d'éloges sur "l'ambition" de son auteur, a été lu avec l'envie de découvrir.
Ca commence comme un polar (le lecteur bienveillant accepte tous les clichés - héros flic grand buveur de café en difficultés sentimentales, à la carrière heurtée), entrecoupé de pseudo-psychiatrie (le psychiatre est bien sûr iconoclaste, mal jugé par ses pairs).
Et ça rebute vraiment lorsqu'il est question de villa à cloisons mobiles, labyrinthe à retrouver la mémoire, et plus encore - dans les rêves du second héros - d'une bande de mendiants aveugles révoltés. Ajoutez-y les noms transparents (Dr Traumfreund - "ami des rêves"), le désert "qui avance" et une mauvaise mixture d'heroic fantasy ...
A la lecture, Vincent Message paraît avoir surestimé l'ambition de ses moyens. Reste une énigme: pourquoi de telles louanges?
Ca commence comme un polar (le lecteur bienveillant accepte tous les clichés - héros flic grand buveur de café en difficultés sentimentales, à la carrière heurtée), entrecoupé de pseudo-psychiatrie (le psychiatre est bien sûr iconoclaste, mal jugé par ses pairs).
Et ça rebute vraiment lorsqu'il est question de villa à cloisons mobiles, labyrinthe à retrouver la mémoire, et plus encore - dans les rêves du second héros - d'une bande de mendiants aveugles révoltés. Ajoutez-y les noms transparents (Dr Traumfreund - "ami des rêves"), le désert "qui avance" et une mauvaise mixture d'heroic fantasy ...
A la lecture, Vincent Message paraît avoir surestimé l'ambition de ses moyens. Reste une énigme: pourquoi de telles louanges?